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Le Cardinal Bernard Agré était-il seulement un homme de Dieu ?

Cardinal Bernard Agre' of Ivory Coast  a

 

Décédé le 9 juin 2014 à Paris, le Cardinal Bernard Agré, a été inhumé hier vendredi 4 juillet 2014, à la Cathédrale Saint-Paul du Plateau d’Abidjan. Le Cardinal fait parti des personnalités les plus controversées de l’histoire contemporaine de la Côte d’Ivoire. Car en plus de son statut de serviteur de l’église Catholique une bonne partie de l’opinion ivoirienne le soupçonne d’avoir joué un rôle négatif dans différentes crises qui ont secoué la Côte d’Ivoire.  Pourtant, il a gravit quasiment tous les échelons de l’organisation Catholique comme le témoigne sa biographie ci-dessous :

Biographie

« Bernard Agré, né le 2 mars 1926 à Monga en Côte d`Ivoire et mort le 9 juin 2014 à Paris, est un cardinal ivoirien, archevêque émérite d`Abidjan depuis 2006.

Né à Monga, dans le diocèse d`Abidjan, Bernard Agré est baptisé à six ans à Memni, le village (après Grand-Bassam, Memni est la deuxième étape de la venue des missionnaires en Côte d`Ivoire) où il reçoit son instruction primaire de 1936 à 1941. Il continue sa scolarité au petit séminaire de Bingerville de 1941 à 1947 avant d`entrer au grand séminaire de la même ville pour ses études de philosophie de 1947 à 1948. Il part ensuite à Ouidah au Dahomey (actuel Bénin) où il suit des études de théologie de 1948 à 1953.

Prêtre

Après avoir été ordonné prêtre, le 20 juillet 1953, il devient vicaire à Dabou pendant trois ans. Il enseigne en même temps, et devient en 1956 recteur du pré-séminaire de Bingerville. Il interrompt son ministère de 1957 à 1960 pour étudier le droit canonique et la théologie à l`université pontificale urbanienne à Rome, où il obtient un doctorat. De retour dans le diocèse d`Abidjan, il est successivement curé de la paroisse Notre-Dame de Treichville de 1960 à 1962, puis vicaire général chargé de l`éducation et des séminaires.

Evêque

Nommé évêque de Man le 8 juin 1968, il a été consacré le 3 octobre suivant par le cardinal Bernard Yago. Il préside la Conférence épiscopale régionale de l`Afrique de l`Ouest (CERAO) de 1985 à 1991.
Le 6 juin 1992, il est nommé évêque de Yamoussoukro dont il devient le premier évêque. Cette nouvelle capitale administrative abrite une grande basilique que le pape Jean-Paul II vient de consacrer. Le 19 décembre 1994, il est nommé archevêque d`Abidjan. Il démissionne de cette charge à 80 ans, le 2 mai 2006.

Cardinal

Il a été créé cardinal par Jean-Paul II lors du consistoire du 21 février 2001 avec le titre de cardinal-prêtre de S. Giovanni Crisostomo a Monte Sacro Alto ».

Malgré tout ce qui précède le Cardinal Bernard Agré reste considéré par certains ivoiriens comme un acteur politique. Surtout, il semblerait qu’il en savait beaucoup sur l’assassinat du Général Robert Guéï le putschiste qui a renversé le Président Bédié en 1999. Il semble également qu’il détestait les populations du nord de la Côte d’Ivoire dont est originaire l’actuel Président Alassane OUATTARA. Ce qui est sûre le    Cardinal Bernard Agré ne pourra plus s’expliqué sur ces reproches qui lui sont fait. J’ose croire que tout ce qui lui est reproché ne sont que des rumeurs


Crise à la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI): La Cour suprême a tranché

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Le feuilleton judiciaire pour le contrôle de la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) est en entrain de connaitre un dénouement. En effet, cela fait plusieurs années que Messieurs   KOUAME Christophe et Siriki BAKAYOKO se dispute la tête de cette grande organisation. Cette crise de leadership est née dès suite du dernier Congrès Ordinaire Electif de la CSCI tenu du 03 au 05 juillet 2012 à la CAISTAB, Abidjan-Plateau. Après plusieurs rebondissements, la Chambre Administrative de la Cour suprême a rendu un arrêt en faveur de Dr  KOUAME Christophe.  Ce dernier a donc animé une conférence de presse ce mardi 1er  juillet 2014, pour se prononcer sur la situation.  Voici ci-dessous la déclaration lue à la presse par Dr KOUAME Christophe :

 

I-LES FAITS

Depuis le 8 avril 2013, le siège de la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI), la plus grande faîtière des organisations de la société civile ivoirienne, composée de syndicats, d’ONG, d’organisations professionnelles et confessionnelles est occupé par des individus ne possédant aucun mandat judiciaire, administratif ou règlementaire et bénéficiant du soutien de certaines autorités policières et administratives de la république de Côte d’Ivoire. A cela, s’est ajouté le gel de ses comptes, domiciliés dans les banques ECOBANK-CI et BIAO-CI. Sommées par un huissier mandaté par la CSCI d’expliquer ces mesures, les banques n’ont fourni aucune pièce justificative1 et ont maintenu le gel des comptes jusqu’à ce jour.

Par ailleurs, la CSCI a continué à poursuivre son programme d’activités et à répondre à des sollicitations de plus en plus croissantes, grâce à la détermination et à la mobilisation de ses organisations membres, aux soutiens de ses partenaires nationaux et internationaux et de citoyens lambda.

Le 14 juin 2013, un acte administratif N°295 portant ‘’Attestation de changement de coordonnateur’’ a été délivré au chef de file des occupants du siège par le Préfet d’Abidjan. Parallèlement à ces activités, le pool juridique a porté ce conflit devant la Cour Suprême pour ‘’excès de pouvoir’’, ‘’violation des statuts et règlements intérieurs de la CSCI, violation de la loi n°60-315 du 21 septembre 1960 relative aux associations en ses articles 1 et 10’’ ; il s’agissait manifestement d’une grave erreur d’appréciation commise par le Préfet d’Abidjan qui en délivrant le document dit ‘’Attestation de constatation de Changement de Coordonnateur ‘’ a constaté des faits inexistants2.

Heureusement, depuis le 23 avril 2014, l’arrêt N° 61 du 23/04/20143, rendu par la Chambre  Administrative de la Cour Suprême aux termes duquel , la plus haute juridiction de laCôte d’Ivoire en matière administrative, après avoir confirmé la qualité de Coordonnateur National de la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) du Dr KOUAME Christophe, a ordonné un sursis à l’exécution de la décision N°295 du Préfet ’Abidjan portant ‘’Attestation de changement de coordonnateur ’’.

1- Significations des huissiers disponibles en adressant une demande à: convention@sociétécivile-csci.org , csci2006@yahoo.fr

2-  Attestation du Préfet d’Abidjan disponible en adressant une demande à : convention@sociétécivile-csci.org, csci2006@yahoo.fr

3 -Arrêt N°61 du 24/04/2014 disponible en adressant une demande à : convention@sociétécivile-csci.org , csci2006@yahoo.fr 3

 

II-ANALYSE DES FAITS

II-1-Cette décision de la Cour Suprême, en tout point conforme au droit, est non susceptible de recours et met fin à deux longues années de crise due à l’immixtion de l’Administration Publique dans la gestion des organisations de droit privé (société civile, associations, syndicats, centrales syndicales, organisations religieuses et professionnelles).

II-2-Il va sans dire que la démocratie ne se résume pas aux cycles d’élections politiques (présidentielle, législative, régionale et municipale). Cette démocratie représentative est une condition nécessaire mais non suffisante pour la construction démocratique d’un pays.

II-3-Pour la construction de sociétés pacifiques, prospères et démocratiques, la participation active des acteurs sociaux (société civile, associations, syndicats, centrales syndicales, organisations religieuses et professionnelles) est indispensable, à tous les niveaux, aux processus de gouvernance, à la promotion de la bonne gouvernance, à la transparence et à la reddition des comptes.

 

III-RECOMMANDATIONS

La CSCI rappelle qu’elle est attachée à la construction démocratique et aux valeurs républicaines. Le cycle électoral étant terminé, les institutions républicaines sont mises en place et fonctionnent régulièrement.

La CSCI, organisation citoyenne, se reconnaît dans la Constitution ivoirienne. Cependant, elle doit jouer son rôle de Contrôle Citoyen de l’Action Publique (CCAP) en toute indépendance et en toute responsabilité pour le bien-être des populations.

L’Administration publique devrait donc s’appuyer sur une société civile crédible et impartiale pour la construction d’une démocratie inclusive et participative.

La CSCI qui accorde du primat au droit au détriment de toute considération ethnique, religieuse, régionale et politique, recommande à l’Administration publique :

1- l’exécution de la décision N° 61 du 23/04/2014 de la Cour Suprême ;

2- la libération de son siège ;

3- le dégel de ses avoirs auprès des banques ECOBANK-CI et BIAO-CI ;

4- la protection contre l’utilisation frauduleuse de sa dénomination et de son logo par

un tiers.

5- le respect de la liberté d’association, de réunion et d’expression garantie par la Constitution ivoirienne, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) et la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP) auxquels la Côte d’Ivoire est partie.

 Fait à Abidjan, le 1er  Juillet 2014

Dr KOUAME Christophe


Quel crédit accordé aux diplômes ivoiriens?

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Les examens de fin d’années ont pris une autre allure ces dernières années car certains élèves avec le soutien de leurs parents cherchent par tous les moyens possibles à tricher. L’abnégation et le goût de l’effort ont quasiment disparu dans le milieu scolaire.  Un ami enseignant d’anglais et surveillant des épreuves écrites du Baccalauréat 2014 m’a fait des récits qui m’ont causé de la peine. Voici l’une des situations auxquelles il a été confronté :

« Dès mon arrivé dans la salle d’examen, une candidate me dit qu’elle veut me voir et comme je ne savais pas la raison, j’ai décidé de lui accordé quelques minutes. Ainsi elle me demande de laisser les candidats tricher et qu’elle me propose 10 000F CFA (15 Euro) avant qu’elle ne termine un autre candidat nous approche et propose  encore 10 000F CFA  (15 Euro), ce dernier va plus loin en me proposant de faire contribuer financièrement tous les candidats. Ces deux candidats certainement au nom de leurs condisciples ont insisté pour que je ferme mes yeux, mes oreilles en un mot que je me taise sur tout ce que je verrai »

Vu tout ce qui précède quel crédit peut-on accordé aux diplômes obtenus par de tels élèves ? Vivement que le Ministre Kandia Camara et ses services soient plus vigilants afin que de telles pratiques quittent pour de bon le milieu scolaire ivoirien.


Quand il pleut à Paris Abidjan est mouillé

Blog

 

Comme les ivoiriens le disent : « Quand il pleut à Paris Abidjan est mouillé » ; oui les ennuis judiciaires de l’ex Président Français Nicolas SARKOZY ont été largement repris par la presse écrite ivoirienne de ce jour particulièrement celle proche de l’ex dirigeant ivoirien Laurent GBAGBO. En effet, les partisans de ces derniers n’ont jamais pardonné     à SARKOZY son soutien à l’adversaire de leur mentor lors de la violante crise postélectorale qui effrité la paix social en Côte d’Ivoire.

Avant cette affaire, les pro-GBAGBO ont jubilé lorsque Nicolas SARKOZY a perdu les dernières élections présidentielles françaises. Car pour eux, sans l’appui de l’ex Président Français,  Alassane OUATTARA n’allait jamais prendre la place de leur chef.

Voici quelques titres parus  à la une des «journaux bleus » de ce jour :

–         Notre Voie titre : ’’Sale temps pour le parrain de OUATTARA,  SARKOZY au violon à PARIS’’

–         Le Temps titre : ’’Les ennemis de GBAGBO dans la tourmente, SARKOZY le parrain de OUATTARA aux arrêt’’.

–         Le Quotidien d’Abidjan titre : ’’Après avoir perdu le pouvoir Dieu frappe encore   SARKOZY’’

–         Le Nouveau Courrier titre : ‘’Il a été inculpé pour corruption active, SARKOZY : la descente aux enfers’’


Scandale de corruption dans la presse ivoirienne

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Le scandale de corruption qui ébranle la presse ivoirienne depuis quelques jours continue de faire des révélations.  Après la suspension et le retrait de la carte d’identité de journaliste professionnel pour une période de six mois par le Conseil national de la presse de Moussa Traoré, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, et Alafé Wakili, patron de L’Intelligent d’Abidjan suite à leur tentative de corruption sur la personne du journaliste Assalé Tiémoko, Gérant de la Société Nouvelle Edition de Côte d’Ivoire, éditeur du bihebdomadaire L’Eléphant déchaîné. C’est autour du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire de réagir.
Dans une déclaration rendue publique hier, le GEPCI (Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire) dit prendre acte des sanctions du CNP. Bien plus, son bureau exécutif a produit un communiqué au cours de sa réunion hebdomadaire du mercredi 22 janvier 2014, dont nous avons reçu copie :

 

I- Les faits

En sa séance du 16 janvier 2014, le Conseil national de la Presse (CNP), a pris, entre autres actes, la décision du « retrait de la carte de journaliste professionnel » des journalistes Alafé Wakili (2ème Vice-président du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire, GEPCI) et Traoré Moussa (Président de l’Union nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire, UNJCI) « pour une durée de six (6) mois». La décision du CNP est consécutive à une série d’auditions et de confrontations qui ont permis au régulateur de la presse écrite de se convaincre que :

1- M. Alafé Wakili s’est rendu coupable, à titre d’instigateur principal, d’une tentative de corruption sur la personne du journaliste Assalé Tiémoko, Gérant de la Société Nouvelle Edition de Côte d’Ivoire, éditeur du bihebdomadaire L’Eléphant déchaîné ;
2- M. Traoré Moussa s’est rendu complice de cette tentative de corruption en acceptant un tel mandat de M. Alafé Wakili auprès de l’éditeur Assalé Tiémoko.

En sa réunion hebdomadaire du mercredi 22 janvier 2014, le Bureau exécutif du GEPCI a auditionné, à son tour, MM. Alafé Wakili (2ème Vice-président) et Amédée Assi Adon (Président, siégeant au CNP pour le compte du Groupement) sur la même affaire.

I- Les constats du GEPCI

Au terme de cette double audition à son niveau, le Bureau exécutif du GEPCI a noté que :

1- Les faits reprochés principalement à son 2ème Vice-président sont d’une extrême gravité ;
2- M. Traoré Moussa, Président de l’UNJCI, s’est mis « en congé » de la présidence de l’Union pour assurer sa défense;
3- M. Alafé Wakili, 2ème Vice-président du GEPCI, annonce son intention d’user des voies de recours pour se défendre.

II- La position du GEPCI

Organisation des Patrons de presse soucieuse de l’image de marque de tous les éditeurs, garante de la dignité et de l’indépendance des journalistes au profit desquels des procédures de rémunération décente sont enclenchées, depuis l’année dernière, le GEPCI :

1- Prend acte de la décision du CNP contre les auteurs des faits aussi graves et dégradants pour l’ensemble de la corporation ;
2- Prend acte de la décision de M. Traoré Moussa de se mettre « en congé » de la présidence de l’Union;
3- Décide de suspendre, à partir de ce jour, l’éditeur Alafé Wakili de ses fonctions de 2ème Vice-président du Groupement pour lui permettre de se défendre;
4- Demeure vivement saisi de cette question jusqu’au bout des procédures en cours et à venir.

Fait à Abidjan, le 24 janvier 2014
Pour le Bureau du GEPCI
Amédée Assi Adon Président


Abengourou/Grossesses en milieu scolaire : 94 cas en trois mois

Sainte Marie

Abengourou est en train de battre le record national de grossesses en milieu scolaire. 94 cas ont été dénombrés au premier trimestre de cette année scolaire dans la cité royale de l’Indenié. Cette information a été révélée lundi par la Directrice régionale de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (Drenet).

Selon Koffi Joséphine. L’âge de ces futures mamans varie entre 11 et 22 ans et leurs auteurs se comptent dans le milieu des enseignants et des élèves. La patronne de l’éducation dans la région de l’Indénié-Djuablin attribue cette « situation désastreuse » à l’« inconscience de certains parents qui louent des maisons à leurs enfants pour se loger sans tuteur et sans encadrement adéquat ». « Pire, ils ne se soucient même pas des conditions dans lesquelles ces enfants vivent », a-t-elle dénoncé.

Koffi Joséphine attribue ces grossesses à la pauvreté des parents, les mauvaises influences, l’absence de communication entre parents et enfants sur la sexualité et le développement du proxénétisme dans la cité princière. Face à la gravité de la situation, elle en appelle à la mobilisation de tous les partenaires de l’école contre ce fléau qui constitue l’une des principales causes des échecs scolaires chez la jeune fille. « 80% des échecs scolaires chez la jeune fille sont liés aux grossesses », soulignet-elle.

La Drenet plaide pour l’ouverture d’une école de jeunes filles avec internat à Abengourou pour juguler ce phénomène

Source:  Nomel Essis / Aip

 


Les hommes politiques ivoiriens sont tous des étrangers ?

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Une photo (voir la photo) créée actuellement le buzz sur la toile en Côte d’Ivoire avec une particularité spectaculaire. Un monsieur avec des balafres sur le visage (une des marques de reconnaissance des Burkinabè en Côte d’Ivoire) est présenté comme le frère aîné du président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan (Le parti de l’ex-président Laurent Gbagbo). Cette photo fait sourire bien d’internautes pro-Ouattara, d’autant plus que Pascale Affi N’Guessan est soupçonné d’être né d’un père de nationalité burkinabè. De quoi relancer le débat sur la filiation réelle ou supposée de certains hommes politiques ivoiriens.

Jusqu’à maintenant, seul le président ivoirien était accusé d’être né d’un père de nationalité burkinabè, ce dernier a toujours démenti avec preuves à l’appui. Ce qui lui a valu d’être écarté des compétitions politiques pendant plus d’une décennie. Alassane Ouattara n’a pu se présenter à l’élection présidentielle qu’avec l’accord de Laurent Gbagbo d’une manière exceptionnelle.

L’actuel président du FPI (Front populaire ivoirien) , Pascal Affi N’Guessan ne s’est jamais prononcé publiquement sur la question. Cependant, des internautes vont jusqu’à dire qu’ils connaissent ou même fréquentent des frères ou des demi-frères de Affi. Ces frères ou demi-frères s’appelleraient Traoré ou Ouedraogo. Ils auraient gardé leur nom de famille contrairement à leur frère qui se cache derrière le nom de Pascal Affi N’Guessan. Nous attendons de voir la suite de ces indiscrétions sur les réseaux sociaux.

@_magnaled


UNIVERSITE DE COCODY : LES ‘’PHILOSOPHES’’ SE CONFIENT A DIEU

UNIVERSITÉ DE COCODY : LES ‘’PHILOSOPHES’’ SE CONFIENT A DIEU

PHILO

Une forte délégation du département de philosophie de l’université Félix Houphouët Boigny s’est rendue, vendredi à la mosquée An Nour de la riviera II, siège de l’Association des élèves et étudiants musulmans de Côte d’Ivoire(Aeemci) pour une cérémonie religieuse en collaboration avec le Comité exécutif.

Selon le directeur de ce département, le Professeur Ezoua Thierry, ‘’cette initiative vise à implorer le Tout Puissant pour passer une année académique paisible’’. Il a indiqué que la philosophie n’est pas  une science qui nie l’existence de Dieu contrairement à la maxime populaire.

Bakary Koné, ex –Vice Amir de l’Aeemci  a pour sa part demandé à l’assistance de se confier au Tout Puissant face à toutes les difficultés et autres épreuves.

’Face aux difficultés de tout ordre, le seul recours demeure Dieu et non les féticheurs et autres charlatans’’, a t-il invité.

L’Amir Mamadou Gnénéfoli Ouattara s’est quant à lui  réjouit de cette initiative du département et la confiance placée à l’Aeemci pour abriter cette cérémonie.

El hadj Mami Doumbia, imam central adjoint de  l’Aeemci a  fait des bénédictions pour une meilleure année académique au département de philosophie et dans toute l’université.

Avant, cette cérémonie, l’église Saint Albert le Grand de Cocody a accueilli, la veille une messe dans ce sens.

De May K.


La mort de CLAUDE VERLON et de JUSLAINE DUPONT : des partisans de Laurent Gbagbo s’en réjouissent

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Ce matin, alors que je consultais mon compte Facebook, j’ai été choqué par une conversation entre des partisans de l’ex-Président Ivoirien Laurent Gbagbo. Ces derniers se réjouissent de la mort des journalistes de RFI au Mali.  Pour eux, RFI  a contribué à installer  l’actuel Président Alassane OUATTARA au pouvoir au détriment de leur mentor. Je vous invite donc à lire quelques commentaires laissés par ces inconditionnels  du FPI.

Le profil Facebook « Zap Krasso » poste le message ci-dessous:  

Décès de Ghislaine Dupont RFI. NOS CONDOLÉANCES LES PLUS ATTRISTÉES A ALLASSANE DRAMANE OUATTARA.

Ce poste de « Zap Krasso » occasionne ces commentaires que voici:

Ivoire Politique Côte D’ivoire Ils ont bien fait de la liquider!!!Ce sont ses amis rebelles maliens qui lui ont fait subir ce qu’elle appelait de tous ses voeux contre le peuple de Côte d’ivoire, alors, que la terre ne lui soit jamais légère!!!Et nous assumons nos propos!!!

Joel Curtis Dieu est juste. On découvre que les journalistes de rfi sont membres de l’equipe politico-criminelle de drama’ne ouattara qui était logée au golf hôtel sous protection fra’nco-onusienne.

Michel Adji Desire JE CROYAIS QUE CES Là NE MOURRAIENT PAS ,BIEN MORT.REBELLE EGUALE à REBELLE

Zap Krasso SA TETE DE REELLE. KO JOURNALISTE DE RFI ET PUIS INSTALLÉE AU GOLF. LAGO AYO KEKE.

Alfred Djoua Sako Ha bon elle était au golf lorsque la petite France de sarko nous pilonnait ?

Mangre Christelle Akossi Ce gouvernement vraiment ils ratent tjrs 1e occasion de se taire ….pouffff

Jacky Agbané C bien fait pour eux, les masques st entrain de tombés

Valentin Digbli Condoléances au PRADO, une membre influente de son équipe (le mot vient de lui) vient d’être tragiquement assassinée.

P’tit Doh qui a perdu une de ses meilleurs amie loooooooooool

Seguela Roland Billeble s il vous plait mes parents notre combat n est lié a celui des terroristes alors faites attention a tout ce que vous dites sur la toile

Thony Kragbe Merci aux maliens pour cette action courageuse, vive l’afrique

Mignard Zabehi je trouve abject et contraire à notre foi de se réjouir de la mort d’une personne. quoique les œuvres de cette personne aient été bonnes ou mauvaises. c’est l’affaire de son CRÉATEUR !!!ressaisissons nous!et prions plutôt pour le 11nov

Kamara Ismael Ha frère Zap tu me déçois avec poste toi un homme si grand si ouvert d esprits si démocrate. Prado est libre d apprécier qui il veu. La mort reste la mort el es a toutes les portes.

Illahry Abrou Sylvain Elle était la collaboratrice de dramane au golf ! Le sang de Desiré Tagro ; du colonel Gohourou crie vengeance .Que le diable ait son âme « !!

Thony Kragbe moi je me rejouis a l’honneur de nos freres et soeurs tombes sous les balles de l’armee francaise en 2004 devant l’hotel ivoire et ceux de la guerre injuste appellee post electorale. cette femme je me rappelle encore de son reportage sur RFi ou elle traitait les patriotes de tous les noms avant l’attaque de 2004 par la france en Cote d’ivoire,

Madeleine Aboua condoleances a allassane pian tous ces con , d’espiions qui se diesnt , journalistes bien fait bravo a ceux qui ont fait ça ,car on ne peut plus berner l’afrique l’afrique se reveille lafrique prend conscience et que ces occidentaux sachent une chose on ne nait pas tueur ni terroriste on le devient bon attendeur

Theodule Tikoye Ah Dupont,adieu,chere journaliste,Co-equipiere de Dramane. Je salue mon neveu Djea Fidele assassine par des Co-equipiers en plein jour dans leur folie en mars 2011. Bien de choses a mes parents de Guitrozon,petit duekoue. Enfin bien de choses a ces mil…Voir plus

Taxi Woro Woro c’est bien fait pour elle, chacun a son tour chez le coiffeur, hier c’était les digne fils que ont tué les français de sarkossry .Merci les maliens d’hollande, tant que vous metterai les batons dans les roues des maliens ils vous tuera. Abon attendeur salut

Lydie Bai je ne pleure pas sur ces gens là oooh je n’ai pas encore fini de pleurer les miens…. 2004 devant l’hôtel est encore présent dans ma tête. à chacun ses morts

Thony Kragbe moi je me rejouis a l’honneur de nos freres et soeurs tombes sous les balles de l’armee francaise en 2004 devant l’hotel ivoire et ceux de la guerre injuste appellee post electorale. cette femme je me rappelle encore de son reportage sur RFi ou elle traitait les patriotes de tous les noms avant l’attaque de 2004 par la france en Cote d’ivoire,


Guerre de positionnement : Qui est le vrai coordonnateur de la convention de la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) ?

alalaaaa

La crise née du dernier Congrès de la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) n’est pas prêt de s’arrêter. Une guerre  de leadership et de positionnement oppose deux personnes qui revendique chacune la tête de cette prestigieuse institution.

Tenu du 03 au 05 juillet 2012 à la CAISTAB, Abidjan-Plateau, le dernier Congrès Ordinaire de la CSCI (Convention de la Société Civile Ivoirienne), au lieu de redynamiser la structure, a favorisé une crise Poste électorale entre  Dr. KOUAME Christophe et  M. BAKAYOKO Sidiki. Cette situation a été occasionnée par  la mauvaise organisation des élections qui devaient voire l’élection du successeur de  Dr. N’GOUAN Patrick (ex coordonnateur de la CSCI). Chaque partie accuse le camp adverse d’être à la base de la crise.

Après s’être assigné en justice, Dr. KOUAME Christophe (le Coordonnateur contesté de CSCI) a pris le dessus pendant un moment, mais M. BAKAYOKO Sidiki  a repris la main en faisant saisir le siège de la CSCI situé juste à côté de l’école nationale de police. Bien qu’occupant le siège, le groupe dirigé par M. BAKAYOKO Sidiki ne semble pas détenir l’effectivité du pouvoir car Dr. KOUAME Christophe a fait ces temps-ci beaucoup de voyage à l’étranger au nom de la CSCI. Apparemment aucun des deux groupes ne semble faire des concessions.

Nous en  appelons   donc à la vigilance des ivoiriens, car de telles personnes ne sont pas dignes de parler en notre nom. Eux qui constituent le conte poids des dirigeants doivent avoir des valeurs, des qualités  et non  les mêmes défauts que ceux qu’ils critiquent.

@_magnaled